Tableaux-Lampes
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Pour enfants
Dauphins de Cnossos (résidence Sophie à Grasse) Dauphins lampe

 

                        Les prémices…

Tableaux lumineux -peinture sur verre-

Abat-jour peints

 

Mon père, d’autre part philatéliste passionné, m’avait inventé un jeu quand j’étais petite :

il mettait devant moi un paquet de cartes postales représentant des tableaux de maîtres : je devais

reconnaître la touche de chaque peintre pour le nommer… j’adorais ça...

Mes parents m’avaient également offert un cahier de découpage des Grands châteaux,

où il fallait coller des papiers transparents de couleur derrière les fenêtres, pour faire un joli effet vitrail...

Ils m’avaient aussi acheté un mécano...

 

A quinze ans, j’hésitais encore entre le dessin… la peinture et la chanson… l’écriture…

Mais ma soif de découvrir le monde et mon désir de voir du monde ont fait que j’ai bifurqué

dans une branche d’évolution irréversible...

Si j’ai un bon coup de crayon, je ne sais pas créer ni imaginer grand chose par cette voie

et mon dessin reste très naïf, (voir Chemin d’Ios…) Toute mon inspiration a pris le chemin de l’écriture…

 

Je garde cependant pour la peinture une passion intacte. J’ai une idée personnelle de son rôle dans le quotidien des hommes.

            J’ai écrit, à ce propos, une chanson en hommage à Jean Lurçat, lors de sa disparition, en 1966 :

 

            Chanson du tapissier :

 

 cliquer pour voir la page Jean Lurçat.

 

 

Etienne et Pons à Montflanquin
Claude Pons avec
Etienne Léopold

Tant et si bien que chez Claude Pons à Monflanquin,

Lot et Garonne,

-(qui nous a organisé, à Philippe Richeux et à moi-même,

nos premières tournées dans le département)-

quand j’ai découvert la peinture sur verre à laquelle

il initiait ses élèves, j’ai eu un choc, un flash, une rencontre…

 

        …et plutôt que de peindre mes barbouillages, j’eus immédiatement

             l’idée de reproduire mes peintres préférés :

             comme Douanier Rousseau et Gauguin, dont les couleurs vives

             et le dessin cerné se prêtaient à cette technique.

 

Les enfants mettaient du papier d’argent derrière leur verre...

J’ai voulu y mettre une lumière, et un diffuseur pour la masquer...

Mais il fallait un cadre... et malgré mon expérience du mécano, si je pouvais concevoir l’idée,

j’étais incapable de la réaliser...

Théo fut le premier à me bricoler un cadre avec des plinthes rainurées destinées aux fils électriques...

et du papier calque en guise de diffuseur... J’ai toujours ce premier tableau, il date de 1977…

 

 

                                               Suite de l’aventure…